Eraole inaugure une nouvelle forme d’aviation, respectueuse de notre environnement. Son design et ses performances en font une machine exceptionnelle. Sa traction est assurée par deux moteurs électriques et une centrale électrique multi hybridée qui produit l’électricité à bord de l’avion avec des énergies renouvelables et propres. Ses sources d’énergie sont l’énergie solaire (25%) via les cellules photovoltaïques qui recouvrent les ailes, l’huile végétale (70%) pour alimenter un moteur thermique et l’hydrogène produit en vol par hydrolyse. Sans compter l’excellente finesse de l’avion. Cette chaine de traction permet de réaliser des vols de longue durée en toute sécurité. En cas de panne d’un des systèmes de la chaine de traction, l’avion peut continuer son vol en mode vitesse réduite et atterrir en toute sécurité, contrairement à un avion monomoteur où la panne impose un atterrissage d’urgence. En 2018, Eraole a réalisé un Tour de France : 1200 km et 130 h de vol. En 2019, record d’endurance et d’altitude, avec un vol de 10 heures à 9 200 pieds. En 2020, Eraole tentera d’effectuer la traversée de la Méditerranée sur les traces de Roland Garros. En 2021, ce sera la traversée de l’Atlantique sur les traces de Charles Lindbergh, New York/Paris en vol électrique.
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J’absorbe toute tache d’huile, essence et pétrole avec ma fibre écologique.
En voulant se débarrasser d’une plante invasive, José Carlos a découvert les propriétés exceptionnelles que recèle la jacinthe d’eau, capable d’absorber jusqu’à 50 fois son poids en liquide. Régénérant.
J’ai découvert que la chair de cactus peut purifier l’eau
Norma Alcantara est ingénieure chimiste à l’USF (University of South Florida). Elle a découvert que la chair du cactus pouvait purifier l’eau, en élimant les bactéries et certains métaux lourds. Ce procédé lui a été inspiré par sa grand-mère au Mexique qui faisait bouillir la chair de cactus et utilisait cette préparation pour rendre l’eau des rivières potable. Cette découverte pourrait être une alternative aux produits chimiques pour dépolluer la mer après une marée noire par exemple. La préparation de Norma a déjà permis aux victimes du tremblement de terre d’Haïti en 2010 de pouvoir subvenir à leur besoin en eau.
Mon ours en peluche mesure la pollution de l’air en temps réel
James Crosby a eu l’idée de concevoir Toxic Toby, en réalisant que, chaque année, 9 400 londoniens mourraient à cause de l’air pollué de la capitale anglaise. Toxic Toby est un ours en peluche pris de quintes de toux à chaque fois que l’air est particulièrement pollué. Ce condensé de technologie est équipé d’un capteur qui mesure la qualité de l’air, et un haut-parleur se déclenche quand la pollution atteint un pic dangereux. Suspendu à des poteaux dans la ville, Toxic Toby a pour objectif de sensibiliser les huit millions de Londoniens aux dangers de la pollution. Ses difficultés respiratoires ne laissent pas les passants indifférents !
Mon éolienne récupère la force du vent créée par le trafic routier
Placée sur une autoroute ou tout autre route de transport, l’Éolienne Enlil transforme la force du vent créée par le passage des voitures et des autobus en énergie électrique. Ou comment utiliser une source de pollution pour en faire de l’énergie propre et renouvelable.
Nous colorons les fumées d’usine en vert pour dénoncer la pollution des villes
Fondateurs du collectif germano-britannique Hehe, ces deux artistes encerclent les fumées d’usine avec un immense laser vert. Le meilleur moyen de surprendre les passants et de les inciter à se questionner sur la pollution atmosphérique que nous générons.