Cette artiste, diplômée de la célèbre Central Saint Martins School de Londres, utilise des matières végétales (mousse, feuille d’arbre, cailloux…) ou recyclées pour créer des grafitti militants. Elle véhicule ainsi des messages engagés liés à l’environnement et à l’urbanisation à travers le street art. Anna fabrique elle-même une colle végétale à base de yaourt, de bière et de sucre.
Tag projet : art militant
J’ai créé le “reverse graffiti” ou “clean tag”
Cet artiste urbain britannique a créé le “clean tag”. ll crée des graffitis sans utiliser de peinture, encre, bombe aérosol ou marqueur… Le clean tag est un graffiti écologique qui s’inscrit dans la mouvance environnementale. Moose supprime la matière pour donner vie à ses compositions. Concrètement, il nettoie les murs, les sols, les tunnels pour ôter les différents types de pollution comme la suie. Avec l’aide de ses pochoirs, il transforme la saleté en une oeuvre éphémère spectaculaire.
Nous colorons les fumées d’usine en vert pour dénoncer la pollution des villes
Fondateurs du collectif germano-britannique Hehe, ces deux artistes encerclent les fumées d’usine avec un immense laser vert. Le meilleur moyen de surprendre les passants et de les inciter à se questionner sur la pollution atmosphérique que nous générons.